Quand je vous le disais...

Pour ceux qui lisent le blog-it express dans la colonne de droite, j'annonçais en début de semaine que la semaine serait chargée.
Elle l'a été!
J'ai fait des aller-retours chez les fournisseurs et amplifié ma collection de bleus, notamment sur la jambe gauche; jeudi je suis partie à Paris pour la journée (levée à 3h40 pour prendre le TGV de 5h17, cool...) et je me suis trompée de lieu de rendez-vous parce que j'avais mal lu la convocation de la réunion, donc je suis repartie à Montparnasse par la ligne 13 qui était bondée suite à des "problèmes de signaux" (sic) et je suis arrivée 1/4 d'heure en retard : on peut dire que j'ai limité les dégâts, je trouve; vendredi j'ai fait une intervention sur mon parcours atypique dans le monde du bâtiment et eu envie d'étrangler, allez j'avoue mes tendances à la violence!, un syndicaliste ouvrier (aucune relation de cause à effet sur ce point, je le précise simplement pour être exhautive) qui a balancé cliché sur cliché à propos de la situation de ses collègues exploités par les méchants patrons : comment construire un dialogue avec des gens bornés à ce point? (je précise qu'il s'est fait huer par la salle qui n'était pas composée de représentants du patronat mais de gens de tous les horizons...)
J'ai fini la journée de vendredi par un pot avec mes salariés pour fêter l'un d'entre eux, dans l'entreprise depuis 30 ans et lui remettre un cadeau. Un moment très sympa.
Une semaine que je n'ai pas vu passer, où je n'ai pas trop eu le temps de vous lire (il me reste encore plus de 40 notes en attente sur bloglines) et la semaine prochaine devrait être pire : je m'absente à partir de jeudi jusqu'à samedi au moins pour un congrès.
Je ne vais pas trop vous embêter! (oui, comme d'hab'!)